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 Matteo Sangue

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Matteo Sangue

Matteo Sangue


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MessageSujet: Matteo Sangue   Matteo Sangue Icon_minitime1Jeu 6 Nov - 18:51

Etat Civil :


-Nom : Sangue
-Prénom(s) : Matteo
-Surnom(s) : Angelo
-Âge : 34 ans
-Sexe : masculin

Signalement :

-Physique global : Pur type latin. Plus particulièrement italien et plus précisément, Sicilien. De taille moyenne, pas plus d’1m75, d’un poids correct d’environ 65 kgs, « Angelo », sans être un bel homme au sens hollywoodien du terme, a du charme. Il dégage une sorte d’aura de force tranquille et porte son âge sans aucun complexe.
Il soigne son apparence sans aller à l’excès, préférant une élégance simple. Par exemple, il entretient soigneusement la couleur brune mat de ses cheveux. Il en est fier par ailleurs, de ce brun italien mat, avec quelques touches de brillants par endroit. Sa démarche tranquille, posée montre un caractère serein qu’il s’efforce de garder dans la plupart des circonstances. Un front légèrement dégarni, qu’il porte bien par ailleurs, dénote une certaine sagesse. Sa bouche, très expressive s’étire assez souvent en un léger demi-sourire, un sourire d’Ange, inimitable et énigmatique.
Mais de son visage, ce qui frappe le plus, ce sont ses yeux d’un bleu très clair, tirant sur le gris acier qui ont la particularité d’être très expressifs. Un regard profond et sincère. Sincère dans le sens où s’il vous fixe pendant un certain temps, vous êtes en droit de vous demander de quelle manière il compte vous faire votre peau.
Mais ceci, vous ne le verrez que lorsqu’il se sépare de ses éternelles lunettes de soleil, chose qu’il fait la plupart du temps dans son petit restaurant.

Globalement, il se détache de son physique l’apparence d’un homme bien dans sa peau, qui a su entretenir un corps assez athlétique. Encore une fois, sans être un canon hollywoodien, Angelo dégage naturellement un certain charisme, un délit de « belle gueule » dont on se souvient. Sans avoir du panache, il est digne, sans être beau, il a un certain charme.


-Vêtements : Il porte en général un costume plutôt pratique que décoratif. Veste noire, pantalon de même couleur, chemise blanche et cravate diverse selon l’usage et la présentation qu’il doit effectuer. Il possède plusieurs costumes de qualités diverses. Son préféré est un costume assez ample (les yeux avisés s’apercevront que la veste est ¼ de taille trop grande pour lui), d’un noir mat, mettant en valeur son teint légèrement hâlé. Il s’y sent parfaitement à l’aise et vous seriez surpris de découvrir les prouesses athlétiques qu’il peut effectuer avec.

Mais par-dessus tout, ce qu’il affectionne dans sa tenue, c’est son long manteau noir qui lui descend jusqu’aux chevilles. Un long manteau à la coupe plutôt ample, qui épouse parfaitement sa silhouette. Sans être d’une qualité exceptionnelle, il montre une fois de plus ce qui caractérise Angelo : une simplicité classieuse. Les habits trahissent un certain état d’esprit: il ne fera jamais d’esbroufe. Par contre, pas question pour lui de se laisser aller, il faut qu’il présente bien et ce, dans toute circonstance.

Le seul ornement un peu superflu qu’il s’autorise, ce sont ses lunettes de soleil rondes, parfaitement adaptées aux volutes de ses joues et qui épousent son visage d’une manière presque surnaturelle.
« Pourquoi le visage d’Angelo a-t-il été dessiné de cette manière ? » Réponse : pour porter ces lunettes.

Notez que selon les circonstances, il peut mettre des habits plus communs, voire discrets.


-Signe(s) particulier(s) : Un accent italien prononcé. Non pas à couper au couteau, mais il a une manière toute particulière de moduler l’intonation de ses phrases, de ses mots, de ses lettere.


-Dossiers Psychiatriques : Lorsque les psychologues du pénitencier de New York ont tenté de définir le profil psychiatrique d’Angelo, ils se sont trouvés fortement embarrassés. Angelo se présente au premier abord comme quelqu’un de parfaitement normal, avec des principes, des sentiments humains (ou presque). A ceci près que, pour lui, la cruauté des punitions liées à une provocation revêt aussi un caractère " normal ». Les gens polis qui le connaissent bien le qualifient en général de « dingue » tant la « dualité intrinsèque de l’homme » peut presque le faire paraître schizophrène.


Qualités : C’est un homme de principes. Et comme tout homme de principe, il ne trahira jamais ses convictions. C’est un homme d’honneur, élevé dans la plus pure tradition sicilienne. Lorsqu’il annonce qu’il va faire quelque chose, soyez sûr qu’il remuera ciel et terre si besoin est pour mener son projet à bien. C’est un homme pragmatique, droit dans ses bottes, un homme de convictions également.
Question qualités d’ordre physique, il est doté d’un physique assez athlétique qui lui permet de fournir de sacrés efforts : même s'il n'est pas un crack en close-combat, il saura se défendre lors d'un combat de rue. Tireur chevronné, il a appris à manier armes de poing et fusils d’assaut avec une précision honorable. Ce n'est pas un tireur d'élite, loin de là, mais c'est un familier des armes à feu.
Mais sa plus grande qualité est cachée, comme un trésor, au fond de sa caboche. Il sait admirablement se servir de sa matière grise.


Défauts : C’est un homme qui a une psychologie un peu … compliquée. Autant il peut paraître réfléchi sur certains points, à en sembler presque d’une indécision chronique, autant il peut faire montre d’une impulsivité surprenante et agir de manière complètement irréfléchie. Le sang chaud sicilien, sûrement. Par ailleurs volontiers râleur, égocentrique, retords, parfois mesquin, souvent impitoyable en affaires, toujours rancunier, plus que tout ceci, il a un défaut qui peut s’avérer vraiment très gênant, plus que tout ce qui a été cité ci-avant, il est susceptible.
Et il ne faut pas oublier qu’il y a certaines choses qu’il n’aime vraiment … Mais vraiment pas. Parmi celles-ci, citons la couardise, la frime à outrance, l’incontinence excessive, la bêtise, le mensonge et les pâtes bolognaises mal faites.


Craintes : Il pourrait presque paraître adepte de Sénèque tant il paraît stoïque devant l’adversité. Il cogite tellement ses plans qu’il doit sans doute craindre de se retrouver à cours de ‘’plans’’ devant l’adversité.


Troubles psychiques et/ou psychologiques (éventuellement, traitement suivi) : Mis à part tous les antécédents cités ci-dessus, aucun.

Goûts (de luxe, bourgeois, moyens, médiocres, pauvres) : moyens

Don : Angelo a été gratifié d’une sorte de « don » dont il ne sait expliquer l’origine. Lorsqu’il se concentre, il est capable d’augmenter ses facultés d’analyse d’une manière assez exceptionnelle. Il peut déceler des tracs de mensonge dans le comportement de son interlocuteur ou appréhender au mieux une trajectoire en automobile. A noter que ce don n’intervient que quand il a « la tête froide » donc, pendant une fusillade, ne vous attendez pas à le voir loger une balle entre les pattes d’une mouche. Les effets pervers et indésirables sont foncièrement gênants : car une fois l’adrénaline retombée, le contre-coup se fait sentir : une sacrée fatigue tombe comme une chape sur ses épaules.


Métier: Officiellement, gérant d’un tout petit restaurant-pizzeria. Officieusement … gangster.
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Matteo Sangue

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MessageSujet: Re: Matteo Sangue   Matteo Sangue Icon_minitime1Sam 8 Nov - 0:47

Historique :


Né à Vizzini en Sicile, Matteo Sangue est le fils d’un honnête restaurateur et d’une femme au foyer. Fils unique, il passa son enfance dans le restaurant paternel, non pas comme un enfant-roi comme il existe tant en Italie, mais comme apprenti. Il apprit les finesses du métier et la cuisine traditionnelle italienne et jusqu’à ses douze ans, ce fut une vie tranquille qui lui convint bien. Certes, la Sicile n’est pas un modèle de modernisme et de relations sociales libérales mais tout de même, ils se sentaient plutôt contents.
Une belle petite enfance voilée par l’ombre de l’omerta… Les pratiques mafieuses siciliennes n’étaient hélas, pas qu’un stéréotype et régulièrement, de drôles de bonhommes venaient poser des questions à son cher père … Puis ils repartaient sans rien dire. Le petit Matteo comprit très vite qu’il ne fallait pas parler en leur présence, qu’il ne fallait pas parler en lieu public, qu’il fallait se taire, et respecter l’omerta.

Lorsqu’il eut douze ans, la visite des bonshommes en costume ne se passa pas bien, il y eut des mots, d’autres bonshommes que Matteo ne connaissait pas sont arrivés, sa mère lui hurla d’aller dans sa chambre. Il s’exécuta, il entendit des cris, des pleurs, et puis ce fameux « bang ».
Ce bruit se répéta plusieurs fois, d’une manière mécanique : « bang », « bang », bang ». Le tonnerre qui accompagnait ce bruit lui comprima les poumons.
Lorsqu’enfin la situation se calma, il ne descendit pas de sa chambre. Personne n’était monté le chercher. Il était seul … Et il avait peur. Mais comme un grand, il ne pleurait pas, il ne se plaignait pas, il se taisait, il respectait l’omerta.

Puis, quelques temps plus tard, un homme vint le réveiller. Matteo le reconnut: Luciano Toldeo, un homme que chérissait son père. L’homme s’assit à côté de Matteo et lui parla calmement. Il lui dit que son papa et sa maman ne viendraient plus lui parler, qu’il ne pouvait plus rester ici tout seul et vu qu’il avait aimé profondément Marcello - le père de Matteo-, et que celui-ci était parti, il prendrait son fils sous son propre toit et le chérirait comme le fruit de ses entrailles. Matteo ne dit rien, il ne comprenait qu’à moitié mais lorsque l’homme lui demanda de le suivre, il ne se fit pas prier. Luciano était un homme bon, il aimait sa femme et ses enfants et il prenait soin de Matteo, l’aidait à faire ses devoirs et l’emmenait toutes les semaines à la boxe. Matteo devint un beau jeune homme et il apprit beaucoup au contact de son parrain. Il apprit à s’habiller, il apprit à cuisiner de nouvelles recettes, il apprit à se battre, à se montrer séduisant tout en étant poli. Il n’avait pas à se plaindre de la vie que lui offrait Luciano …

Puis arrivèrent ses seize ans. Le lendemain de son anniversaire, Luciano revêtit son manteau et demanda à Matteo de le suivre. Il abandonna ses frères et rejoignit son parrain dans la rue. Puis ils marchèrent longtemps. Il se souvient avoir discuté pendant longtemps cette matinée là. Son parrain lui reparla de l’attentat qui avait frappé ses parents et de la vendetta qui attendait depuis ce jour. Matteo découvrit en douceur un autre monde, des luttes qu’il n’avait fait que soupçonner sans pouvoir y mettre un nom, il découvrit la toile qui enserrait la Sicile depuis bientôt 100 ans. Puis il se souvient s’être arrêté à la piazza Garibaldi. Son parrain lui parlait d’homme à homme et il savait ce que ça signifiait, ce que cela impliquait. Habituellement, l’organisation ne s’encombrait pas des jeunes dont les parents avaient été tués par un homme d’honneur. Mais les temps changent, la stidda * avait des chiens fous qui transgressaient toutes les règles … Luciano avait donc pensé à Matteo suite à son lourd passé. Il avait pensé à lui pour mener à bien la vendetta et faire tomber la Famiglia Trenete, responsable des meurtres de plusieurs hommes d’honneur ces derniers temps.

Ce fut la première fois que Matteo avait une décision importante à prendre. Il regarda le bonhomme déjà vieillissant et hocha de la tête, une lueur noire dans le regard. Luciano le prit dans ses bras. Ce fut une des seules manifestations d’affection du vieux que connut Matteo. Puis il partit pour un long voyage avec son Maggiore* et il apprit le « métier ». Il apprit à réfléchir, à mener des affaires, à se battre au couteau, à tirer au revolver et au fusil d’assaut. Il voyage de Syracuse à Marsalà, en passant par Corleone. Il fit le tour de la Sicile et termina son instruction par Palerme. Son maggiore était un grand homme brun, au visage buriné mais au regard sage. Il lui expliquait sans cesse que l’argent était une bien meilleure arme que des balles ou une batte de baseball. Mais il lui enseigna que tout l’or du monde ne ferait pas pencher un homme qui avait en lui la foi et une volonté sans faille. Matteo buvait ses paroles et forgea son caractère.



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Son instruction dura cinq ans. Cinq longues années pendant lesquelles il suivait son maggiore lors des réunions, et ne disait mot. Puis il revint à Vizzini et revit Luciano. Matteo était maintenant un initié aguerri. Il ne lui manquait plus que son baptême. Son parrain le lui offrit sur un plateau d’argent : une vendetta contre la Famiglia Trenete. Voitures brûlées, magasins vandalisés, réveils en pleine nuits, altercations avec les hommes du quartier furent une sorte de préliminaires. Matteo révéla sa patience, son esprit de méthode et sa méthode froide d’analyse. Il y allait méthodiquement, presque mécaniquement, de sang froid.

Puis, Francesco Trenete, le fils même de Massimo Trenete, celui qui avait ordonné le massacre neuf ans auparavant se rendit vulnérable. Matteo le renvoya chez lui par la poste … En plusieurs colis. Massimo avait perdu un fils, ses affaires s’effritaient devant ce chien fou lâché dans Vizzini comme une bête avide de vengeance. Il se plaignit à la Fraternité, dénonça le comportement de Luciano qui avait recueilli puis initié ce jeune pazzo. Mais rien n’y fit pour la Fraternité qui ne voyait qu’une vendetta bien ciblée contre un Parrain devenu trop sûr de ces acquis et qui avait lui-même transgressé l’omerta. Puis, un soir de janvier, Matteo se rendit à l’opéra où le le patriarche Trenete avait l’habitude de se rendre, assassinat son chauffeur lors de la représentation puis régla ses comptes. Définitivement.


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A vingt-deux ans, Matteo dut quitter la Sicile et partit vers les Etats-Unis. Les chiens fous ne faisant jamais de vieux os dans un monde où doit régner l’Ordre. Il vécut à New-York pendant quelques temps, vivotant de petits boulots à droite et à gauche. Il se lia d'amitié avec nombre d'italo-américains vivant à New-York mais se désola de l'aspect de Cosa Nostra en Amérique et de la perversion des valeurs. Il en retira un dégoût profond qui le fit se reporter vers la rue et son éthique. Les années 90 lui apprirent à réfreiner son impulsivité naturelle lorsqu'il se rendit responsable du meurtre de sept personnes suite à une altercation dans un bar mal famé de Harlem - "joli score" dira à ce sujet l'inspecteur MacCallen chargé de l'arrestation de Matteo- . Jugé et condamné, il passa cinq ans de sa vie en prison pour meurtre. Il s'évada à Noël 2004, à tout juste trente ans. Puis commença une vie de cavale qui s'acheva moins d'un an plus tard où il fut acquitté par contumace dans des circonstances assez troublantes (disons que ses "amis" new-yorkais avaient choisi le bon moment pour lui renvoyer l'ascenseur).

Néanmoins, fort de son expérience de taulard, il décida de quitter la Grande Pomme pour aller vers l'ouest. Chicago, Las Vegas, Phoenix, même San Francisco, il voyagea pendant deux ans sans un sou en poche (mais avec des revolver pleins le coffre).
Puis, au détour d'une autoroute lui apparut le Comté de Depra. Chouette endroit au nom si prometteur. Il décida donc de s'y rendre et de s'y refaire une nouvelle vie, une nouvelle santé. Il investit ses maigres économies dans l'achat d'un rez-de-chaussée d'un immeuble où il ouvrit son enseigne. Un minuscule restaurant nommé "Siparino", il y cuisine depuis des spécialités italiennes, majoritairement des pizzas et autres "pasta" diverses.
Mais comme toujours, les ragots annoncent qu'il s'adonne à d'autres activités, beaucoup moins politiquement correctes.


__________________________________________________


• Stidda :étoile en sicilien, seconde organisation mafieuse de Sicile avec Cosa Nostra
• Maggiore : un mafioso déjà intégré au système et chargé d’initier un plus jeune.
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William J O'Sullivan
Parrain de la Mafia
William J O'Sullivan


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Âge RP: : 63 ans
Citation favorite: : J'ai vu des mecs plus coriaces que toi... et ils sont tous morts.
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Renommée dans le milieu:: Elevée - on sait qui est le Parrain de Depra. Impossible de le prouver cependant.
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MessageSujet: Re: Matteo Sangue   Matteo Sangue Icon_minitime1Sam 8 Nov - 0:52

background validé, bienvenue dans ce monde de merde... Enfin, pour les gens honnêtes. Parce que pour nous, ça ressemble plus au Paradis.

Faut dire qu'on n'est jamais bien loin du cimetière...

Bref, tout ceci pour te souhaiter la bienvenue.
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